Source : https://www.orange-business.com/fr/blogs/5g-revolution-pour-lhopital-demain

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Une médecine dématérialisée par la téléconsultation médicale.

Qu’est-ce que la téléconsultation médicale ?

La vidéo consultation ou la téléconsultation, telle qu’elle est définie par l’article 78 de la loi n°2009-879 du 21 juillet 2009, est une consultation réalisée à distance par un médecin et par l’intermédiaire des nouvelles technologies (c’est-à-dire par Internet via des ordinateurs, tablettes ou smartphones). Elle s’inscrit dans les pratiques abordées par la télémédecine qui consiste en l’exercice qui regroupe les pratiques médicales, que permettent ou facilitent les nouvelles technologies. La téléconsultation peut être pratiquée par n’importe quel médecin exerçant en France, quel que soit son secteur d’exercice et sa spécialité. La seule condition étant, outre la nécessité d’un équipement et le consentement du patient, de connaître pour le médecin « téléconsultant » le patient et cela afin de garantir une prise en charge de qualité. Ceci implique au moins une consultation physique avec le médecin « téléconsultant » au cours des 12 derniers mois précédant la téléconsultation. A l’issue de cette consultation médicale virtuelle le médecin peut, comme pour une consultation physique, proposer un diagnostic et délivrer une ordonnance. Ainsi, elle représente une nouvelle voie d’accès aux soins permettant de contourner certains obstacles tels que les déserts médicaux, les difficultés d’accès aux soins en soirée ou le week-end, ou encore les délais de prise de rendez-vous. Elle vient donc faciliter l’accès aux soins pour tous, et ce, de manière égale. Elle est toutefois à distinguer du télé-conseil, terme utilisé par les entreprises privées, pour donner des conseils médicaux et vendre des médicaments délivrés sans ordonnance.

Ce type de consultation est bien évidemment encadré, notamment par l’article R.6316-1 du Code de la Santé Public qui considère la téléconsultation comme un acte médical à part entière. Cette réglementation impose un cadre juridique très contraignant pour les médecins et ce notamment depuis le décret n°2010-1229 du 19 octobre 2010 relatif à la télémédecine qui encadre les définitions et les conditions de mise en œuvre des téléconsultations. Ainsi, seuls les médecins autorisés et inscrits à l’ordre national des médecins pourront pratiquer des téléconsultations. Durant la campagne présidentielle de 2017, Emmanuel Macron misait principalement sur le développement de la téléconsultation comme pilier de lutte contre les déserts médicaux. A partir du 15 septembre 2018, date à partir de laquelle les consultations par visioconférence sont accessibles sur l’ensemble du territoire, l’assurance maladie prend désormais en charge ce dispositif (même dans le cadre exclusif du parcours de soin et cela suite à l’avenant 6 à la convention médicale de juin 2018, qui détaille le montant des rémunérations prévues pour les professionnels de santé et les conditions à respecter pour bénéficier d’un remboursement de droit commun des actes de téléconsultation et de télé-expertise). Cependant, seules 60.000 téléconsultations ont été facturées à la Sécurité sociale sur l’ensemble du territoire sur les douze mois qui ont suivi l’entrée en vigueur du remboursement. Un chiffre bien en dessous de l’objectif gouvernemental de 500.000 actes remboursés pour la première année.

Face à la COVID-19 ?

L’usage de la consultation vidéo à distance a explosé depuis le début de la crise sanitaire, en particulier durant le confinement, les malades cherchant un moyen d’éviter les salles d’attente bondées des cabinets médicaux. Le gouvernement a assoupli considérablement les règles de la téléconsultation remboursée en levant les contraintes liées au parcours de soins pour les patients exposés. L’Assurance maladie a ainsi pris en charge 12,8 millions de téléconsultations de janvier à fin août 2020, avec un rythme de croisière qui a grimpé de 10.000 actes hebdomadaires au début du confinement mi-mars à plus d’1 million en avril et mai.

Le 11 mars 2020, la signature de l’avenant 8 à la convention médicale d’août 2016 fait évoluer le déploiement du recours à la télémédecine afin d’autoriser l’évaluation de solution de télémédecine dans des conditions pouvant déroger à certains principes de l’avenant 6. Toutefois, l’avenant 8 ne vise pas à répondre à la gestion de crise du coronavirus. Le décret n°2020-227 du 9 mars 2020 prévoit, à titre transitoire et exceptionnel jusqu’au 30 avril 2020, que pour les personnes infectées par la COVID-19 ou pour lesquelles une suspicion existe, d’élargir les conditions de prise en charge pour la téléconsultation en autorisant notamment cette dernière même si le médecin ne connaît pas le patient concerné. La propagation de la COVID-19 a ainsi mis un coup de projecteur sur les solutions commerciales de télémédecine et a accéléré la prise de conscience quant à l’utilité de son recours. « Une semaine de confinement a fait gagner dix ans sur l’évolution de la pratique de la télémédecine » résume la Fondation Jean Jaurès dans une étude sur l’avenir de la e-santé réalisée en partenariat avec la plateforme de télémédecine Qare dont elle a étudié les données.

Les limites de la téléconsultation ?

Le principal désavantage de la téléconsultation est la modification de la relation entre le patient et le médecin. Cela fait naitre des limites d’adhésions en suscitant de vives craintes pour certains utilisateurs et acteurs de la santé. Ils craignent notamment une deshumanisation de la prise en charge, une perte de contact physique, une diminution des interactions relationnelles. De plus, elle vient aussi poser un problème de sécurité médicale et médico-légale avec une difficulté en cas de situation clinique préoccupante. C’est pourquoi il est interdit de recevoir en téléconsultation un patient nouveau. Même pour les patients connus, la téléconsultation représente un risque. Il peut un jour aller mal et présenter des signes de gravité auxquels la téléconsultation ne permet pas de répondre facilement. Par ailleurs, une insuffisance technique du réseau de connexion Internet français est constatée. En effet, l’accès à internet par connexion haut débit est une condition essentielle au bon déroulé d’une téléconsultation. La technologie 5G soutient ainsi permettre une meilleure performance pour les téléconsultations.

Concernant la protection des données et du secret médical, les piratages des bases de données sont redoutés par les patients. Selon la CNIL, les données personnelles sont des données à caractère personnel concernant la santé physique ou mentale, passée, présente ou future, d’une personne physique (y compris la prestation de services de soins de santé) qui révèlent des informations sur l’état de santé de cette personne. Soit telle que définie à l’article 4 du règlement général sur la protection des données (RGPD), il s’agit de toute information se rapportant à une personne physique identifiée ou identifiable ; est réputée être une «personne physique identifiable» une personne physique qui peut être identifiée, directement ou indirectement, notamment par référence à un identifiant, tel qu'un nom, un numéro d'identification, des données de localisation, un identifiant en ligne, ou à un ou plusieurs éléments spécifiques propres à son identité physique, physiologique, génétique, psychique, économique, culturelle ou sociale. Quant au piratage il signifie, mener des activités qui cherchent à compromettre des appareils numériques, comme les ordinateurs, les smartphones, les tablettes et même des réseaux complets, afin de voler des informations, ou de l’espionnage. Ainsi, l’hébergement des données ainsi que de leur échange doivent impérativement être sécurisés afin d’assurer aux patients une parfaite confidentialité des informations médicales les concernant. La télémédecine en général soulève un certain nombre d’enjeux notamment des sujets éthiques liés à l’impact sur nos vies privées. Cependant, nous ne disposons pas encore de suffisamment de recul et d’informations sur cette utilisation pour atténuer les craintes qu’elle suscite.

La 5G, une fréquence hertzienne révolutionnaire.

 

La 5G est un spectre révolutionnaire car elle apporte une forte amélioration de l’ancien réseau. On parle de dix fois plus de rapidité pour le temps de latence dans le transit des données qui permettra des échanges instantanés. Cette fréquence sera forcément utile à la médecine.

Qu’est-ce que la 5G ?

La 5G aussi appelée 5ème génération est un réseau de communications mobiles, elle permettra « de nouvelles perspectives et permet la cohabitation d’applications et usages extrêmement diversifiés unifiés au sein d’une même technologie ». Elle est un élément « facilitateur » de la numérisation de la société et aura un rôle important en environnement, économie et le domaine de la santé. L’ANFR (Agence Nationale des Fréquences) promet une plus grande couverture ainsi qu’une amélioration de la vitesse de transfert des données. L’ANFR, autorité administrative indépendante, a pour mission de négocier et défendre les positions françaises au niveau international ainsi que sur l’implantation de sites d’émission par antenne sur le territoire. L’ARCEP (Autorité de Régulation des Communications Électroniques et des Postes) est quant à elle une autorité administrative indépendante chargée de répartir les fréquences du spectre radioélectrique. Ces fréquences, appartenant au domaine public de l’État, sont attribuées par enchères.

Le potentiel du numérique intégré à l’innovation médicale.

Avril 2019, à l’Hôpital de Pékin : un neurochirurgien a effectué une opération d’un patient atteint de la maladie de Parkinson à distance dans le bloc opératoire de la clinique de Hainan, soit à 3000 km au sud du pays. Le médecin envoyait des ordres à un bras robotique qui effectuait l’opération pour lui. La prouesse médicale est due à une fluidité du réseau et à l’action réalisée à temps quasi-immédiat car selon les chiffres fournis, on parle d’un délai de 1 milliseconde du bras automatisé sur les ordres du médecin, tandis qu’avec la 4G on était à 20 millisecondes. C’est absolument l’effet recherché par les experts et le directeur général de l’association des opérateurs mobile la GSMA (Global System Mobile Association). Selon Mats Granryd, « si vous faites de la chirurgie assistée à distance, il vous est nécessaire d’avoir l’impression d’être presque là en personne. Vous ne pouvez pas avoir plus d’une ou deux millisecondes de temps de latence. C’est la raison pour laquelle la 5G présente un intérêt ».

Le 27 février 2019, pour le Mobile World Congress de Barcelone, le Docteur Antonio Lacy a réalisé une démonstration en dirigeant une opération pour un cancer de l’estomac réalisée par son équipe, cette fois-ci, quelques étages plus bas, dans l’Hôpital Clinic de Barcelone, par un système Plug and Play qui permet de brancher et d’utiliser directement l’appareil sur des périphériques compatibles afin d’observer les procédures et d’interagir avec l’équipe pour éviter les complications et répondre à la nécessité de précision. Cela pourra faciliter la pratique des chirurgiens qui ont besoin d’aller à des conférences tout en étant capable de mener des opérations à distance, ou comme récemment, d’annuler des opérations. Dans Les Échos du 3 février 2020, Yann Fralo évoque même la possibilité : « les régions et territoires ne bénéficiant pas d’infrastructures suffisantes pourraient profiter de la combinaison du réseau 5G avec une salle opératoire automatisée, évitant ainsi la présence obligatoire d’un spécialiste sur place. Une réelle alternative à prendre à bout de bras, afin de maximiser l’accès aux soins pour tous et sauver des vies ».

La France montre un certain retard face à cette modernité de la e-santé malgré le fait qu’un des autres impacts de la 5G est l’application de nouveaux standards de la téléphonie en médecine. C’est l’un des enjeux sur lesquels le gouvernement français a misé pour la lutte contre la COVID-19. Cela permet d’avoir un suivi rapproché à domicile. On peut évoquer le suivi par appareil connecté. On avait d’abord les glucomètres permettant de mesurer le taux de glycémie pour les diabétiques, puis on a eu l’occasion de voir que certaines montres sont capables de prendre le rythme cardiaque. Des balances connectées permettent également d’avoir un suivi sur le poids. Ces pratiques pourraient se démocratiser grâce à la 5G et au Cloud permettant de transmettre directement certaines informations à son médecin. Le Cloud est le stockage de données ou logiciels sur des serveurs localisés à distance. Le but du Cloud est de pouvoir utiliser les données n’importe où et n’importe quand et de les conserver pendant une longue durée sans avoir le besoin de les conserver sur soi. Elle vise à un accès plus facile et une meilleure collaboration entre les médecins avec une réduction des coûts de prise en charge.

Cependant, ces nouvelles technologies sont vulnérables. Il faut prévenir les attaques de serveurs (DdoS) en rendant inopérant le serveur, ou ransomware, logiciel malveillant permettant de bloquer l’accès aux données de la victime et menace de les publier ou de les supprimer si une rançon n’est pas versée. C’est une attaque qui est désormais assez fréquente contre les hôpitaux (ex : Oloron Sainte-Marie) ou les services de mairies (ex : Bondy). Les données personnelles liées à la sphère médicale doivent être protégées. Celles-ci relèvent d’un cadre législatif particulier qui est le secret médical.

Selon l’article R. 4127-4 du Code de santé publique : « le secret professionnel institué dans l’intérêt des patients s’impose à tout médecin dans les conditions établies par la loi.

Le secret couvre tout ce qui est venu à la connaissance du médecin dans l’exercice de sa profession, c’est-à-dire non seulement ce qui lui a été confié, mais aussi ce qu’il a vu, entendu ou compris. »

L’émergence de l’Intelligence Artificielle.

Qu’est-ce que l’Intelligence Artificielle ?

« Ce ne sont pas les philosophes avec leurs théories, ni les juristes avec leurs formules, mais les ingénieurs avec leurs inventions qui font le droit et surtout le progrès du droit » (C.-A. Colliard, La machine et le droit privé français contemporain). Le principal précurseur de la notion d’intelligence artificielle est Alan Turing qui a envisagé dans les années 50 qu’une machine pourrait être caractérisée comme étant une machine intelligente si elle était capable de tenir une conversation comme un être humain lambda (on parle du test de Turing). Une définition de la notion d’intelligence artificielle s’impose. Selon Stéphane Astier et Gérard Haas, l’intelligence artificielle « recouvre traditionnellement tous systèmes électroniques et informatiques qui fonctionnent en essayant de dupliquer ou d’imiter les principes de la réflexion, de l’intelligence ou plus simplement, certains mouvements ou gestes de l’Homme ». Il en existe deux types : l’intelligence artificielle dite faible qui utilise les moyens possibles pour faciliter le travail des humains et l’intelligente artificielle dite forte qui se définit plus comme une véritable machine capable de s’autogérer elle-même.

De nos jours, l’intelligence artificielle est en plein développement et elle représente un défi majeur. On peut citer comme exemple l’association de l’imprimante 3d avec l’IA qui permettrait grâce aux calculs de cette dernière une marge d’erreur largement réduite pour un rendement optimal ou bien dans le contexte actuel sanitaire, le cas de la Tunisie qui à l’aide de l’IA a pu fabriquer des respirateurs artificiels pour un coût très bas (environ 400€). Il y a donc un enjeu économique crucial mais également un enjeu dans le domaine de la santé, car face à l’augmentation des coûts des soins de santé et au déficit de celui-ci, l’intervention de l’Intelligence artificielle est importante. Par ailleurs, l’Intelligence artificielle permet déjà d’améliorer grandement la qualité de vie d’un patient. Pour citer quelques exemples, le cas de la téléconsultation médicale déjà évoquée permet, grâce à l’aide de tchats et de questions interposées entre un patient et une machine, d’établir une sorte de pré-consultation sur les potentielles pathologies que pourrait avoir le patient. Citons aussi la démocratisation de machines chirurgiennes qui, grâce à leur minutie, permettent d’augmenter drastiquement la réussite d’une opération médicale.

Un problème nouveau émerge cependant avec la montée en puissance de cette technologie. En effet, un algorithme (processus effectuant une série de calcul pour résoudre un problème donné) permettant d’estimer avec un meilleur taux de réussite qu’un médecin à connaître la possibilité de décès d’un patient ou de permettre d’identifier l’orientation sexuelle d’individu uniquement à partir d’une photo peut paraître choquant et assez troublant notamment d’un point de vue éthique. C’est dans cette optique que l’Union européenne prévoit plusieurs principes pour protéger l’impact néfaste que pourrait avoir l’intelligence artificielle. Ces principes recouvrent le respect des droits de l’Homme, la sécurisation et la fiabilité des algorithmes, le respect de l’environnement, la conservation des données, etc. Le régime juridique de l’IA est donc rattaché à celui du RGPD. De plus, le Parlement européen lors de sa résolution du 12 février 2019 rappelle les potentiels dangers, d’une mauvaise utilisation de l’intelligence artificielle. Il précise « l’importance de la qualité des données utilisées dans l’apprentissage profond fait observer que l’utilisation de données de mauvaise qualité, obsolètes, incomplètes ou incorrectes peut conduire à de mauvaises prévisions et en conséquence à une discrimination et à des biais ».

Les dérives envisageables.

Avec l’arrivée imminente de la 5G, une autre problématique risque d’apparaître : celle de la sécurité. En effet, cela entraînera une nouvelle avancée technologique qui rendra les infrastructures encore un peu plus dépendantes de l’IA ce qui pourrait entraîner des dysfonctionnements importants en cas de sabotage ou d’hacking. La question de la responsabilité se pose bien que ces machines soient capables d’obtenir dans certaines hypothèses une meilleure étude que celle de l’expertise humaine. Qu’en est-il en cas d’erreur de diagnostic ? Un vide juridique persiste notamment au niveau de cette question concernant la responsabilité de l’IA. Enfin, une problématique sur les emplois devrait également se poser étant donné que si l’IA arrive à s’autogérer elle-même et à faire le travail « mieux » qu’un humain. On peut émettre l’hypothèse que d’un point de vue financier, les IA seront beaucoup plus rentables et avantageuses pour les entreprises sachant que cette « autonomisation des machines » progresse de manière affolante année après année.

Auteurs : DUVAL Alexandre ; MARTINEZ Pauline ; NITKORY Saida ; REDDEE Mehdi.

BIBLIOGRAPHIE. 

Normes juridiques.

  • Arrêté du 1er août 2018 portant sur l’approbation de l’avenant n°6 à la convention nationale organisant les rapports entre les médecins libéraux et l’assurance maladie signée le 25 août 2016.
  • Articles R.4127-4 et R.6316-1 Code de la santé publique.
  • Article 78 de la loi n° 2009-879 du 21 juillet 2009 portant réforme de l’hôpital et relative aux patients, à la santé et aux territoires.
  • Décret n°2020-227 du 9 mars 2020, adaptant les conditions du bénéfice des prestations en espèces d’assurance maladie et de prise en charge des actes de télémédecine pour les personnes exposées au COVID-19.
  • Règlement général sur la protection des données, 27 avril 2016, 2016/679,
  • Résolution du Parlement européen du 12 février 2019 sur une politique industrielle européenne globale sur l’intelligence artificielle et la robotique, 2018/2088.

Institutions officielles.

  • AGENCE DU NUMERIQUE EN SANTE (ANS), « Recensement des outils numériques pour les professionnels – COVID-19 », esante.gouv.fr [en ligne] https://esante.gouv.fr/recensement-des-outils-numeriques-professionnels-covid-19.
  • ARCEP, Grand dossier « La 5G », Arcep, 22 février 2021 [en ligne] https://www.arcep.fr/la-regulation/grands-dossiers-reseaux-mobiles/la-5g.html.
  • ARCEP, Grand dossier « La 5G », Fréquences 5G : procédure d’attribution de la bande 3,4 – 3,8 GHz en métropole, Arcep, 4 février 2021 [en ligne] https://www.arcep.fr/la-regulation/grands-dossiers-reseaux-mobiles/la-5g/frequences-5g-procedure-dattribution-de-la-bande-34-38-ghz-en-metropole.html.
  • ASSURANCE MALADIE, « Téléconsultation, une pratique qui s’installe dans la durée », Assurance Maladie. Communiqué de presse, 16 septembre 2020 [en ligne] https://www.ameli.fr/fileadmin/user_upload/documents/2020-09-16_Teleconsultations_anniversaire_2_ans.pdf.
  • CNIL, « Qu’est-ce qu’une donnée de santé ? », CNIL [en ligne] https://www.cnil.fr/fr/quest-ce-ce-quune-donnee-de-sante.
  • MINISTERE DES SOLIDARITES ET DE LA SANTE, « Fiche médecins, Recours à la téléconsultation dans le cadre de l’épidémie de Coronavirus (COVID-19) », solidarites-sante.gouv.fr [en ligne] https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/covid-19_teleconsultation-fiche-medecin.pdf.

Articles de doctrine.

  • CHARLET Jean, BRINGAY Sandra, « Intelligence Artificielle et Santé. Une analyse rétrospective depuis 2010 », 30es Journées Francophones d’Ingénierie des Connaissances, IC 2019, AFIA, Toulouse, juillet 2019 [en ligne] https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-02329573/document?fbclid=IwAR1J-lOgmDKv2hrQ8yWFD_RiDwtxyDxf_jc6gD8zEXGxZBmc6PoeAPI4Wn8.
  • ESTERLE Laurence, MATHIEU-FRITZ Alexandre, ESPINOZA Pierre, « L’impact des consultations à distance sur les pratiques médicales. Vers un nouveau métier de médecin ? », Revue française des affaires sociales, 2011/2-3, p. 63 à 79 [en ligne] https://www.cairn.info/revue-francaise-des-affaires-sociales-2011-2-page-63.htm.
  • HAAS Gérard, ASTIER Stéphane, « Les biais de l’intelligence artificielle : quels enjeux juridiques ? », Répertoire IP/IT et Communication (Dalloz), Juillet 2019 [en ligne] https://www-dalloz-fr.ezproxy.univ-perp.fr/documentation/Document?id=ENCY/IPIT/RUB000429.
  • MAUBLANC Jean-Victor, « La procédure d’attribution des autorisations d’exploitation de réseaux mobiles à l’épreuve de la 5G, RFDA, 2020, p.713 [en ligne] https://www-dalloz-fr.ezproxy.univ-perp.fr/documentation/Document?id=RFDA/CHRON/2020/0224.

Articles de presse. 

  • AFP / LE PARISIEN, « L’hôpital d’Oloron Sainte-Marie attaqué par un ransomware, le 3e en un mois », Le Parisien, 9 mars 2021 [en ligne] https://www.leparisien.fr/high-tech/lhopital-doloron-sainte-marie-attaque-par-un-ransomware-le-3e-en-un-mois-09-03-2021-JG5S2VDRJ5CY7A2F22OHFRTWMM.php.
  • BERTHAUD-CLAIR Sandrine, « Coronavirus : des chercheurs tunisiens conçoivent un respirateur à imprimer en 3D », Le Monde, 17 avril 2020 [en ligne] https://www.lemonde.fr/afrique/article/2020/04/17/coronavirus-des-chercheurs-tunisiens-concoivent-un-respirateur-a-imprimer-en-3d_6036915_3212.html?fbclid=IwAR2oHG3WrtjwgVI0mjhXyOQ2oj87X2m5wllIUCeRvtCjAfYylv99fiCyXuQ.
  • FRALO Yann, « Opinion | La 5G, nouveau pilier pour le futur du secteur médical », Les Echos, 3 février 2020 [en ligne] https://nouveau-europresse-com.ezproxy.univ-perp.fr/Link/U031536T_1/news%c2%b720200203%c2%b7ECL%c2%b7cercle_203119.
  • HAUS Hélène, « Après Bondy, Pantin victime d’une cyberattaque ? », Le Parisien, 15 décembre 2020 [en ligne] https://www.leparisien.fr/seine-saint-denis-93/apres-bondy-pantin-victime-d-une-cyberattaque-15-12-2020-8414447.php.
  • JOUSSELIN Sophie, « Une opération du cerveau à distance grâce à la 5G », RTL, 18 avril 2019 [en ligne] https://www.rtl.fr/actu/sciences-tech/une-operation-du-cerveau-a-distance-grace-a-la-5g-7797456343.
  • MICHAUD Pierre & VELAZQUEZ Jaime, « La 5G, une technologie qui va révolutionner la chirurgie mondiale », Euronews, 14 janvier 2020 [en ligne] https://fr.euronews.com/2020/01/14/la-5g-une-technologie-qui-va-revolutionner-la-chirurgie-mondiale.
  • SABOURAUD Corine, « Covid-19 – Perpignan : le cluster résorbé à la clinique Saint-Pierre, la cancérologie retrouve sa pleine capacité », L’indépendant, 25 janvier 2021 [en ligne] https://www.lindependant.fr/2021/01/25/perpignan-le-cluster-covid-est-resorbe-a-la-clinique-saint-pierre-la-cancerologie-retrouve-sa-pleine-capacite-9332322.php.

Webographie (autres sources).

  • BASTIEN L, « L’intelligence artificielle peut à présent prédire la mort mieux qu’un médecin », lebigdata.fr, 14 mai 2019 [en ligne] https://www.lebigdata.fr/intelligence-artificielle-predire-mort.
  • DES GAYETS Maxime, PELTIER Jérémie, « La santé numérique demain : démocratique, sur-mesure, experte, préventive », jean-jaures.org, 15 septembre 2020 [en ligne] https://jean-jaures.org/nos-productions/la-sante-numerique-demain-democratique-sur-mesure-experte-preventive.
  • FAFARD Steven, « 5G : définition fonctionnement du réseau, usage et couverture en France, tout ce qu’il faut savoir », cnetfrance.fr, 22 février 2021 [en ligne] https://www.cnetfrance.fr/news/5g-definition-fonctionnement-du-reseau-usages-et-couverture-en-france-tout-ce-qu-il-faut-savoir-39904675.htm.
  • FUTURA (rédaction), « Intelligence artificielle : qu’est-ce que c’est ? », futura-sciences.com [en ligne] https://www.futura-sciences.com/tech/definitions/informatique-intelligence-artificielle-555/
  • MALWAREBYTES, « Hacker », malwarebytes.com [en ligne] https://fr.malwarebytes.com/hacker/.
  • EM !, « Le programme d’Emmanuel MACRON, la santé » [en ligne] https://en-marche.fr/emmanuel-macron/le-programme/sante.
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